AMÉNAGEMENT DE LA PLACE DE LA MAIRIE ET DE LA RÉPUBLIQUE – CHAGNY (71)

Maître d’ouvrage / Ville de Chagny

Mandataire / Atelier Merchez Urbanisme&Paysage

Co-traitant / Serges Koval Programmiste/Urbaniste, CDC consultants

Contraintes / Conflit voiture/piéton, maîtrise du stationnement

Budget : 1,6 M euros HT de travaux

Reception de chantier : 2009

Située entre Beaune et Chalon-sur-Saône, la Commune de Chagny s’est développée au sein d’un important réseau d’infrastructures articulant voies ferrées, canal du centre et RN6. Ce contexte a plutôt favorisé l’installation d’activités industrielles et artisanales mais la Commune ne bénéficie pas réellement du transit touristique ni de la proximité, pourtant immédiate, des grands sites viticoles.

Comment améliorer l’accessibilité au centre-Commune ? Comment amplifier l’attractivité, affirmer le repérage, donner envie d’aller vers la Commune et d’y rester ? Telles sont les questions que tente de résoudre la Commune de Chagny en développant un programme d’interventions essentiellement tourné vers le développement  urbain et  l’aménagement de l’espace public. Des questions corollaires sont également abordées : logement, activité, tourisme et font l’objet d’actions spécifiques. L’approche transversale permet d’assurer la cohérence des investissements dans le temps et dans l’espace. Globalement, c’est l’évolution de l’image de la commune qui est au cœur des préoccupations.

Après une analyse urbaine et paysagère du territoire communal, l’étude de programmation urbaine (SLAE) s’attache à définir un certain nombre d’actions et d’aménagements de l’espace public ainsi que des scénarios d’investissement permettant de mesurer les effets sur le budget de la commune.

Plan d’aménagement des espaces centraux : place de la mairie et carrefour rue de Beaune / rue de la République

Ici la pierre de Bourgogne est préconisée pour les espaces piétons mais les espaces circulés, d’avantage sollicités, sont réalisés en pavés de grés.

Le carrefour principal des rues commerçantes de l’hyper-centre est traité en pierres blondes et en pavés de grés sciés

DÉVELOPPEMENT DURABLE DE LA ZONE DU CHAMP BEL AIR RUE DE BROUSSAIS – DAINVILLE (62)

Maître d’ouvrage :Territoire 62

Mandataire : HEXA ingénierie

Co-traitant : Atelier Merchez Urbanisme&Paysage

Budget : 5 M euros HT de travaux

Contraintes : Environnementale définie par la Communauté Urbaine d’Arras

Territoire 62 agissant en tant qu’aménageur de la zone souhaite s’entourer d’une équipe d’AMO afin d’accompagner cette dernière sur la mise en place et le suivi d’une démarche de d’AEU (Approche environnementale de l’Urbanisme)  pour l’aménagement de la Zone du Champ Bel Air à Dainville. 

Les principales dispositions relatives a l’AEU mettent l’accent sur les aspects suivants : 

– Favoriser la mixité, quel soit sociale, intergénérationnelle ou fonctionnelle (logement et activités/services),

– L’accent sur les espaces verts et la qualité de vie, en maintenant la nature en cœur de projet,

– Les réflexions sur les déplacements doux (le site faisant partie du Schéma Directeur des Voies Cyclables de la Communauté Urbaine d’Arras (CUA)). 

– La gestion des déchets et Eaux pluviales.

– Favoriser les énergies renouvelable.

Ces différents aspects découlent notamment de la politique de Développement Durable de la CUA, qui s’est matérialisée par la mise en place d’un Agenda 21 et plus spécifiquement sur ce projet s’est traduite dans des Cahiers de prescriptions urbaines, architecturales et paysagères.

Le territoire concerné au Nord de Dainville a longtemps contenu le développement urbain et mérite aujourd’hui une phase opérationnelle maîtrisant les objectifs environnementaux. 

L’ampleur relative de l’opération sur le long terme (3 phases) nécessite une assistance professionnelle, côté Maîtrise d’Ouvrage, apte à défendre et promouvoir des objectifs de qualité urbaine et paysagère.

PLACE DE LA GARE – NESLE (80)

Une gare excentrée, à 12 minutes à pied du centre ville. Une structure urbaine absente au sein d’un ensemble foncier peu organisé, la densité autour de la gare reste à « construire ».

UN PROGRAMME FONCTIONNEL

– Amener le piéton jusqu’au pied du bâtiment SNCF

– Multiplier les liaisons vers la ville

– Cadrer et limiter la place pour préserver la partie logement et orienter le projet vers l’Est (prendre de la distance par rapport aux Fret). 

– Introduire une géométrie identifiable, en relation avec le foncier disponible

Réception de travaux : Janvier 2016

Mandataire : Atelier Merchez Urbanisme&Paysage

Co-traitant : Verdi Picardie

Budget : 650 000 euros HT de travaux

AMÉNAGEMENT DES BERGES DE LA SCARPE – ARRAS (62)

Réalisation d’une passerelle et d’une véloroute le long de Cité Nature sur le canal St-Michel et la darse Méaulens

Maître d’ouvrage : Communauté Urbaine d’Arras.

Mandataire : Theorems

Co-traitant : Merchez Urbanisme et Paysage

Contraintes : Implantation sur berges, passage sous ouvrage, accessibilité du site.

Budget : 1,3 M euros HT de travaux

Temporalité : Esquisse Novembre 2016 / AVP en cours

L’aménagement prend place sur l’ancienne rue de l’école de natation (domaine public fluvial non cadastré) bordant le canal St Michel à Arras (rue de l’école de Natation). L’emprise du terrain est délimitée au Nord par le canal St Michel, à l’Ouest par la rue de la piscine, et au Sud par le quai du rivage. Le terrain aménagé a une superficie de 48868 m2 ( la topographie est quasiment plate dans le sens Nord Sud avec une variation d’altitude variante de 55m à 57 m NGF).

Le projet se situe sur les anciens glacis et douves protégeant la ville d’Arras du Moyen Âge jusqu’à l’ère industrielle. Durant les travaux de démantèlement (fin du XIXe siècle), les fossés sont partiellement comblés par l’aplanissement des remparts. L’activité industrielle se développe sûr d’épais remblais assurant la desserte des usines par rail tout en permettant la poursuite de l’activité batelière. L’emprise des travaux se situe à l’Est des captages de Méaulens (direction du sens d’écoulement de la nappe de l’ouest vers l’Est)

Le projet se situe sur les berges du canal de la Scarpe aux abords de Cité Nature (jardin et bâtiement réhabilité), et traverse le boulevard Schuman. Les zones limitrophes sont composées d’espaces post-industriels avec l’installation récente d’équipements de loisirs.

Situations avant l’aménagement

LE PROJET ET SON INSERTION DANS LE SITE

L’aménagement du terrain

Le projet d’aménagement prévoit la réalisation d’une véloroute longeant les abords de Cité nature et passant au-dessus et au-dessous du pont Schuman. Les contraintes d’aménagements sont liées aux fortes pentes des berges de la Scarpe qui conditionnent les solutions techniques envisagées.

Composition et organisation

Le projet se situant dans la commune d’Arras et de Saint Nicolas lez Arras consiste en la réalisation d’une passerelle franchissant l’écluse 28 St Nicolas, de la création d’une voie verte et la réalisation d’un franchissement de l’ouvrage Robert Schuman. Cette voie verte prend comme départ la création d’une passerelle piétonne métallique au-dessus de l’écluse, les usagers pourront découvrir par la suite l’ancien chemin de halage longeant les jardins et les bâtiments de Cité nature. Le long de ce parcours plusieurs points de vue seront aménagés sous la forme de belvédères. La limite avec le jardin de la Cité Nature sera réalisée par une clôture en acier Corten évoquant le caractère industriel du lieu. Au niveau du boulevard Schuman, le projet offre deux possibilités de franchissement, la première est un passage sous l’ouvrage prenant la forme d’un quai réalisé en mur-poids. La seconde est un passage au-dessus de l’ouvrage s’élargissant pour mettre en valeur la façade la façade Art déco de Cité Nature.

L’aménagement se termine par le prolongement de la voie verte sur la rue aux Foulons jusqu’au niveau de la capitainerie. Cette opération ainsi que ses géométries viennent en continuité immédiate des projets environnants et a pour ambition de former un espace public linéaire de liaison urbaine. (Aménagement aux abords de la piscine, jardin Cité Nature, boulevard Schuman)

Organisation des accès

Le projet comporte une voie piétonne et cycliste carrossable en béton brossé d’une largeur variable de 3,2m à 2,5m occasionnellement empruntable par les services techniques et des gestions du site. Des plots amovibles permettent de limiter les circulations de véhicules sur la véloroute.

Traitement des parties du terrains situées en limite

Les typologies de clôture et les modes de traitement resteront simples et seront traités par une clôture en métal déployé Corten. Cette clôture permettra de rétablir l’ancienne limite de la rue de l’école de natation. Les gestionnaires de Cité Nature ont été consultés pour obtenir leurs accords concernant la clôture ainsi que les différentes entrées de service dédiés à leurs logiques de gestions et d’entretiens.

Nature des matériaux envisagés pour l’aménagement

Le projet défend une cohérence des matériaux avec son environnement immédiat. Ainsi le cheminement de la véloroute sera réalisé en béton brossé gris clair de teinte identique à la façade de Cite Nature. Les berges modifiées seront réalisés en enrochement.

Le passage sous l’ouvrage Schuman sera réalisé en murs-poids en pierre de type « Calcaire dur» (blanc jaune) en référence au calcaire composant le sous-sol Arrageois. Le cheminement situé au-dessus sera réalisé en béton brossé, et en tôle agrain. Les garde-côtes seront réalisés en acier corten et en câble acier inox. Les équipements d’éclairage public seront composés de balisage régulièrement espacés le long du cheminement. Plusieurs mâts seront disposés sur les espaces d’arrêts afin de sécuriser le site.

PLACE D’ARMES DE LA CITADELLE – ARRAS (62)

Etude préopérationnelle pour l’aménagement de la Place d’armes de la Citadelle d’Arras

Maîtrise d’ouvrage : Communauté Urbaine d’Arras

Maîtrise d’œuvre : Atelier MERCHEZ Urbanisme & Paysage

QUAI DE TRANSFERT- ALBERT (80)

Création de garage, vestiaires, bureaux et espaces de stockage attenant à une déchèterie

L’objectif de la démarche durant l’été et l’automne 2009 a consisté à proposer différentes options d’équipement et à en mesurer l’investissement 

Différentes étapes ont fait l’objet d’un travail concerté avec la commission chargée du projet :

–  Propositions hiérarchisés de 3 options d’implantation

– Affinement d’une option d’implantation et du programme construit pour la Communauté de Communes du Pays du Coquelicot

– Chiffrage et phasage

– Validations

Maîtrise d’ouvrage : Communauté de Communes du Pays du Coquelicot

Maîtrise d’œuvre : Atelier MERCHEZ Urbanisme & Paysage

REQUALIFICATION ET AMÉNAGEMENT DU SITE MEILLASSOUX – VILLENEUVE-D’ASCQ / HEM (59)

Aménagement du site de l’ancienne teinturerie Meillassoux entre les communes de Villeneuve-d’Ascq et Hem en espace d’aménité publique, écologique et pédagogique.

Maitrise d’ouvrage : Métropole Européenne de Lille

Maitrise d’œuvre : Atelier MERCHEZ Urbanisme & Paysage /// Ixsane BE Environnement

Spécificité de la mise en œuvre du projet :

Le projet se voudra économe dans son intervention sur les milieux. En effet l’espace étant en cours de reconquête par la faune et la flore, le projet devra limiter son impact sur ce milieu boisé. Ainsi l’ensemble des cheminements cherchera à limiter l’abattage des grands sujets arborés afin de préserver le rôle de nidification et de refuge de ce site.  La démolition suivra aussi cet objectif de préservation ainsi la piste de chantier nécessaire à l’atelier de concassage servira de base compactée au cheminement forestier longeant les bords de la Marque.

Le projet se voudra économe dans son intervention sur les milieux. En effet l’espace étant en cours de reconquête par la faune et la flore, le projet devra limiter son impact sur ce milieu boisé. Ainsi l’ensemble des cheminements cherchera à limiter l’abattage des grands sujets arborés afin de préserver le rôle de nidification et de refuge de ce site.

La démolition suivra aussi cet objectif de préservation ainsi la piste de chantier nécessaire à l’atelier de concassage servira de base compactée au cheminement forestier longeant les bords de la Marque.

La démolition de la dalle sous réserve de consultation des entreprises s’effectuera par un découpage régulier par scie hydraulique, un ancrage et une évacuation par une grue mobile des modules de découpe limitant ainsi les rejets dans le cours d’eau. L’ensemble des modules seront stockés sur place pour permettre leurs réemplois ultérieure dans l’aménagement.

Installation de la passerelle en acier corten du site Meillassoux

La Métropole Européenne de Lille a entrepris l’aménagement du site de l’ancienne usine Meillassoux, site abandonné depuis 1999 sur lequel la nature a repris ses droits. Jusqu’alors isolé de la ville de Hem par le passage de la Marque, le projet prévoit la création d’une passerelle qui permettra de passer sur la rive gauche, traverser le bois pour rejoindre le site des lacs à Villeneuve d’Ascq.

En effet, le site Meillassoux adossé au centre de la ville de Hem, forme un point de rencontre pour les différentes circulations douces. Il permettra aux usagers du site de rejoindre rapidement la chaine des lacs de Villeneuve-d’Ascq. Un ensemble de dispositifs permettra de limiter l’accès au site à l’ensemble des véhicules motorisés. Pour des raisons de maintien des structures de cheminement, les cavaliers seront également écartés.

Deux éléments fondamentaux caractérisent le projet de la MEL : l’élargissement du lit de la Marque au droit des ateliers municipaux et le confinement d’une partie du boisement pionnier qui s’est développé après le démantèlement de l’usine.

À l’échelle métropolitaine, le site Meillassoux est un maillon écologique important du Val de Marque. Cependant la continuité écologique de la Marque est aujourd’hui compromise par la présence de deux dalles limitant la circulation de la faune et de la flore. Il est donc primordial de rouvrir le cours d’eau par le démantèlement de la dalle et la requalification des berges.

Pour l’ouverture du lit de la Marque, ne soyez pas surpris ! le démantèlement des dalles industrielles qui couvraient le cours d’eau sur près de 200ml donnera lieu à un démontage – sans rejets dans l’eau – et à des dépôts sur place de morceaux de dalles qui seront colonisées par une végétation indigène.

Les autres agrégats issus des démolitions seront concassés sur place pour servir de structure aux futurs cheminements. Cette mesure rejoint les préoccupations environnementales consistant à éviter tout transport de matériaux dans le sens des approvisionnements comme dans celui des évacuations.

Par ailleurs, le site Meillassoux est un point stratégique pour l’expansion des crues, présent au cœur du PPRI du Val de Marque, le site est un lieu de réception des eaux et de gestion des inondations pour ce territoire. Le projet devra prendre en compte le caractère inondable dans les aménagements le long du cours d’eau.

Le site devrait être ouvert au public en novembre 2022, mais une partie du boisement central correspondant à l’emprise de l’ancienne usine sera clôturée. Cette précaution a pour but de laisser la nature se développer sans l’agressivité consciente ou inconsciente des usagers. Des fenêtres et panonceaux pédagogiques expliqueront les raisons de cette protection environnementale pour un site en contact avec le centre ville de Hem.

Préalablement, le chantier prévoit la dépollution manuelle de tous les déchets accumulés sur cette zone (plastics, métaux, bouteilles en verre, débris de béton…).

Enfin si pour des raisons d’accès des engins de travaux, une partie des espaces a du être défrichée (arbres de moins de trente ans), sachez que la plantation de près de trois milles sujets (dont 1900 baliveaux) est prévue à l’automne pour aider le site à renforcer un caractère écologique favorable à la nidification, sont également prévues des plantations de berges en cohérence avec la reproduction aquatique.

Une investigation supplémentaire a été demandé au maître d’œuvre pour ajuster les implantations en grandeur réelle avec l’appui d’un géomètre.
Les sujets rencontrés de plus trente ans ont été répertoriés. Les géométries du parcours ont été adaptées pour épargner le maximum d’arbres.

À savoir : Durant le chantier, une protection de plus d’un kilomètre a été mise en œuvre pour éviter que le hérisson d’Europe ne soit écrasé par les engins de travaux.

L’ ÎLE LAMICHE – LA FERTÉ MILON (02)

Aménagement de l’Île Lamiche contournée par le canal de l’Ourcq : réfection de berge, création de kiosque, terrasse et ouvrage de franchissement


La vieille ville est accrochée au coteau Sud et en dénivellation d’une trentaine de mètres. Le château domine la ville de La Ferté Milon et le fond de vallée de l’Ourcq. La rivière se sépare en deux bras l’un canalisé et l’autre non, formant une île dont la partie aval est en friche depuis les années 50.

En 1992, Jean-Michel Merchez est sollicité pour une étude de programmation urbaine financée dans le cadre du Fond Régional d’Aide au Conseil de Picardie. L’île Lamiche (c’est le nom de l’ancien propriétaire du moulin qui se tenait sur l’île) fait partie des différents investissements programmés sur une quinzaine d’année.

Ce n’est qu’en 2004 que sont relancés les investigations cette fois d’ordre plus touristiques sur cette île en friche et sa relation avec le patrimoine protégé de la commune.

Le programme évoluera au fur et à mesure des différents mandats électoraux. En finalité, le projet d’aménagement et de construction prend corps en 2010 et sa qualité repose sur sa maturation mais aussi sur sa résistance aux différents détracteurs du projet.

Maitrise d’ouvrage : Ville de la Ferté Millon

Mandataire : At. Merchez Urbanisme & Paysage

Co-traitant : Verdi Picardie

Date : Reception 2015

Budget : 2 M € HT de travaux dont 450 K € HT pour l’ouvrage d’art

Particularité : Périmètre monument historique, 15 mètres de tourbe, milieu humide, complexité du programme, police de l’eau

ÎLOT VATIN

BOHAIN EN VERMANDOIS

Aménagement d’une place et de ses abords


La Ville de BOHAIN en VERMANDOIS, après avoir confié à la SEDA le soin de l’assister dans une démarche de reconquête urbaine de friches industrielles dans le cadre d’un contrat d’études opérationnelles, lui a concédé cette opération d’aménagement.

Afin de disposer d’espaces complémentaires permettant d’aérer le quartier et de créer des espaces de stationnements et des espaces verts d’accompagnement, il est prévu la démolition d’un îlot entre les rues de la Fabrique et la rue Charles Vatin.

Dans le cadre de ce programme, une réflexion globale est menée afin d’organiser au mieux les flux véhicules, les cheminements piétons, le stationnement aux abords de l’îlot après sa démolition, afin de valoriser l’ensemble du secteur dans le cadre d’un aménagement paysager de qualité.

Maitrise d’ouvrage : Société d’Équipement du Département de l’Aisne SEDA

Mandataire : Atelier Merchez

Co-traitant : Verdi picardie

Date : Chantier en cours

Budget : 1.6 M € HT (travaux)

Particularité : Démolition partielle des bâtiments existants nécessitant la gestion des mitoyens, confortement nécessaire des ouvrages.